Informations sur la maladie de la peau: Comment guérir le psoriasis
Sous ce nom se cache une maladie très courante et souvent gênante. En général, le psoriasis est une maladie de la peau qui provoque une inflammation de la peau. En plus de la maladie de la peau, il y a d’autres causes qui augmentent le risque de développer le psoriasis:
Le psoriasis est une maladie de la peau dans laquelle les cellules de l’épiderme s’accumulent en grand nombre sur la peau et provoquent une inflammation de la peau. Cette inflammation est très fréquente et elle est liée à plusieurs facteurs:
Plusieurs facteurs contribuent au développement du psoriasis:
Les personnes à haut risque de développer le psoriasis sont les personnes âgées, les personnes qui ont subi une chirurgie abdominale et une chirurgie de la hanche, les personnes atteintes de diabète, les personnes souffrant d’arthrite, les personnes atteintes de la maladie de Crohn ou de rectocolite hémorragique ou qui ont des antécédents familiaux de psoriasis.
Selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS), le psoriasis affecte 3,2 % de la population. C’est une maladie qui apparaît généralement entre 15 et 25 ans et qui se développe progressivement au fil des ans. Il se manifeste le plus souvent sur la peau du corps, mais il peut aussi affecter les articulations et le système digestif. Le psoriasis est une maladie de la peau qui provoque une inflammation de la peau. Il se caractérise par des plaques épaisses qui se développent sur la peau. Elles sont de couleur rouge-jaune et se situent le plus souvent sur les coudes, les genoux, les coudes, le visage et les mains (psoriasis en gouttes). Le psoriasis se développe lorsque le système immunitaire de l’organisme attaque les cellules de la peau. La maladie se manifeste généralement chez les personnes qui ont des problèmes de santé comme le diabète, la thyroïde, le cancer de la prostate, les maladies de la thyroïde, l’hyperthyroïdie, la maladie de Crohn et les maladies auto-immunes.
Le psoriasis est une maladie de la peau qui se manifeste sous forme de plaques rouges, brillantes et épaisses qui peuvent atteindre jusqu’à 8 cm de diamètre. Les plaques de psoriasis peuvent être regroupées en petites zones circulaires, appelées «taches». Elles peuvent apparaître n’importe où sur le corps, même sur le visage, les mains et les pieds. Dans la plupart des cas, les plaques de psoriasis sont roses et grises en relief, mais elles peuvent aussi être de couleur marron, jaune, verdâtre ou noire. Certaines personnes peuvent développer des plaques blanches dans des zones particulières comme les aisselles, les organes génitaux ou la zone autour de la bouche. Les plaques de psoriasis ne démangent pas et la plupart du temps, elles ne sont pas douloureuses. Toutefois, elles peuvent parfois causer des douleurs dans les muscles et les articulations.
Les symptômes de la maladie de la peau peuvent être différents selon les personnes atteintes de psoriasis. Certaines personnes peuvent avoir des plaques de psoriasis de la même couleur que la peau de leur corps (des taches de psoriasis). D’autres peuvent avoir des plaques de psoriasis de couleur différente de leur peau et qui peuvent être de forme ronde, ovale ou en forme de poire. Dans tous les cas, les plaques de psoriasis peuvent démanger et peuvent être douloureuses.
Les causes du psoriasis sont multiples. Certaines personnes ont un lien génétique avec la maladie, d’autres ont des facteurs environnementaux. Il existe d’autres facteurs qui peuvent augmenter le risque de développer le psoriasis. Voici quelques facteurs de risque:
Les personnes qui ont des antécédents familiaux de psoriasis peuvent avoir un risque plus élevé de développer le psoriasis en raison d’une prédisposition génétique.
Il existe plusieurs traitements du psoriasis. La recherche montre que les traitements du psoriasis peuvent soulager les symptômes et prévenir l’apparition des plaques de psoriasis. Les traitements du psoriasis peuvent inclure des médicaments, des crèmes et des shampooings. Les médicaments peuvent être administrés par voie orale, par voie vaginale ou par voie topique.
Des effets indésirables potentiels ont été rapportés pour les antibiotiques suivants :
(RCP du laboratoire)
(Vidal)
Azithromycine Zentiva |
Azithromycine Sandoz |
Azithromycine Teva |
Zithromax Janssen Pharmaceutica NV |
Zithromax Sandoz |
Des cas de pneumonie interstitielle ont été rapportés chez des patients traités par des antibiotiques de la famille des macrolides, notamment par l’azithromycine.
En cas d’apparition de symptômes pseudo-grippaux (incluant fièvre, fatigue, frissons, douleurs musculaires et articulaires, myalgie et céphalées), il est nécessaire d’interrompre le traitement et d’envisager un avis médical.
Un surdosage par voie orale d’azithromycine peut provoquer des effets indésirables sévères tels qu’une acidose métabolique (acidose lactique), une insuffisance rénale aiguë et une insuffisance cardiaque.
La dose recommandée est de 1 g/500 mg, à prendre selon les indications de votre médecin, pendant 3 jours, avec une durée totale de traitement de 6 jours.
En cas de surdosage, les symptômes sont généralement légers à modérés, mais peuvent inclure une détresse respiratoire ou des manifestations neurologiques telles que somnolence ou convulsions, par exemple.
Les autres symptômes potentiels du surdosage comprennent une hypotension, une arythmie, des vertiges, des troubles de la conscience, des troubles du rythme cardiaque, des symptômes psychiatriques et des signes de troubles digestifs tels que nausées, vomissements et diarrhées.
Si vous avez pris plus d’azithromycine que vous n’auriez dû
Les effets indésirables les plus fréquemment rapportés (chez 1 à 10 patients sur 1 000) sont les suivants :
Si vous oubliez de prendre azithromycine
Ne prenez pas de dose double pour compenser la dose que vous avez oublié de prendre. La dose suivante vous sera prescrite au plus tôt 12 heures après la dernière prise.
Augmentation de la fréquence des crises épileptiques ou du risque de crises épileptiques, y compris les crises partielles ou les crises généralisées.
Déclaration des effets secondaires
Si vous ressentez un quelconque effet indésirable, parlez-en à votre médecin, votre pharmacien ou votre infirmier/ère. Ceci s’applique aussi à tout effet indésirable qui ne serait pas mentionné dans cette notice. Vous pouvez également déclarer les effets indésirables directement via le système national de déclaration : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) et réseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance - Site internet : https://signalement.social-sante.gouv.fr/.
En signalant les effets indésirables, vous contribuez à fournir davantage d’informations sur la sécurité du médicament.
5. COMMENT CONSERVER AZITHROMYCINE ZENTIVA 1 g/500 mg, comprimé pelliculé ?
Tenir ce médicament hors de la vue et de la portée des enfants.
Conserver le flacon et l’emballage extérieur à l’abri de la lumière et de l’humidité.
Précautions d’emploi :
Ce médicament ne nécessite pas de précautions particulières de conservation.
Ne pas utiliser ce médicament au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur le récipient.
Contre-indications :
Ne prenez jamais
si vous êtes allergique à l’azithromycine ou à l’un des autres composants contenus dans ce médicament, mentionnés dans la rubrique 6.
En cas de doute, demandez conseil à votre médecin ou à votre pharmacien.
Ne prenez pas ce médicament pendant la grossesse.
Présentations
1 sachet de 500 mg
10 sachets de 500 mg
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Les patients souffrant de maladies respiratoires sont particulièrement à risque de présenter des effets indésirables respiratoires pouvant affecter la capacité respiratoire. En cas de survenue d’une toux sèche, d’une dyspnée, de sibilants, de difficultés à respirer avec une toux et une respiration sifflante, de sifflements, de toux nocturnes ou d’une gêne respiratoire, il faut interrompre le traitement par azithromycine. En cas de rhinopharyngite, il faut également arrêter le traitement par azithromycine (voir rubrique « Grossesse, Allaitement et Fertilité »)
La toux chronique est une pathologie fréquente. Dans la majorité des cas, la toux est liée à la présence d’un agent infectieux et son traitement est symptomatique. Elle peut également être secondaire à une pathologie non infectieuse sous-jacente. Elle peut se manifester sous forme de toux grasse, sèche, productive ou d’expectorations pouvant donner lieu à des altérations cliniques différentes.
En cas de toux grasse avec des expectorations muco-purulentes, il faut interrompre le traitement par azithromycine. En cas de toux sèche, il faut également interrompre le traitement par azithromycine (voir rubrique « Grossesse, Allaitement et Fertilité »).
Dans certains cas, une dyspnée aiguë ou une bronchite aiguë peut être révélatrice d’une inflammation de la membrane muqueuse du système respiratoire (bronchiolite) ou d’un bronchospasme aigu provoqué par l’azithromycine.
Dans ce cas, il est recommandé de rechercher les signes respiratoires au cours de l’examen clinique, afin de déterminer l’origine du trouble. La réalisation de tests complémentaires n’est pas recommandée car il n’y a pas d’immunofluorescence directe des macrolides dans le sérum ou dans les expectorations.
En cas de toux chronique sous-jacente ou de dyspnée aiguë, il faut arrêter le traitement par azithromycine.
En cas de toux sèche, il faut également arrêter le traitement par azithromycine.
Chez les patients présentant une anomalie du fonctionnement de la fonction ventriculaire gauche, des crises d’arythmie ou une insuffisance cardiaque congestive, il est recommandé de rechercher les signes de troubles du rythme, en particulier en cas de survenue de syncopes.
En cas de palpitations, il faut interrompre le traitement par azithromycine.
Dans ce cas, il est recommandé de rechercher les signes de troubles du rythme au cours de l’examen clinique, afin de déterminer l’origine du trouble.