La paxil est un médicament de la famille des Inhibiteurs de la Recapture de la Chérie. Il est utilisé pour traiter les symptômes suivants :
Si vous présentez un trouble anxieux généralisé, vous devez arrêter de prendre le médicament et consulter votre médecin.
Les troubles anxieux sont les symptômes suivants :
Si vous avez un trouble anxieux généralisé, vous devez arrêter de prendre le médicament et consulter votre médecin. La prise d'un inhibiteur de la recapture de la sérotonine peut aider à soulager ces symptômes et à réduire la fréquence des effets indésirables.
Selon une étude de l’INSERM de 2012, 15 à 20 % des femmes présenteraient un trouble de la boulimie. Les femmes jeunes sont les plus touchées, souvent à partir de la fin de l’adolescence. D’autres études ont établi que la proportion de jeunes filles boulimiques atteindrait les 30 % en France. On ne peut pas vraiment parler de troubles boulimiques de la petite enfance, mais plutôt d’un trouble alimentaire. De quoi s’agit-il ? Pourquoi existe-t-il ? Comment est-on soigné ?
Les troubles de la boulimie ont été décrits pour la première fois par Freud (1893) qui en a fait le symptôme de sa névrose obsessionnelle. Ce trouble de la nourriture a un caractère compulsif. Le boulimique évacue sa frustration, mais il ne la digère pas et elle ressurgit dans des crises de vomissements, de faim et de jeûne. Les crises de boulimie se font parfois en cachette, sans que l’on s’en aperçoive. Une personne qui souffre de boulimie est souvent obsessionnelle, dans le sens où elle va manger compulsivement, en avalant des quantités anormales d’aliments, des quantités qui peuvent atteindre 2500 à 3000 calories par jour. Il s’agit de la « boulimie compulsive ». C’est un trouble alimentaire, et non pas un trouble du comportement alimentaire. On peut avoir une boulimie compulsive et ne pas être boulimique mais souffrir de la boulimie. Elle peut se manifester à tout moment de la vie et avoir des formes diverses. La boulimie est un trouble qui touche surtout les filles qui ont une personnalité anorexique et qui sont de grandes consommatrices de psychotropes.
La boulimie est un trouble alimentaire, qui a ses symptômes physiques et psychiques :
Le boulimique peut se priver, mais il ne le fait jamais sans raison et avec plaisir. Il peut avoir des problèmes de poids, mais il ne les considère pas comme un problème. On dit qu’il est « à la diète ». Il y a deux sortes de boulimiques : les boulimiques et les anorexiques qui ne sont pas boulimiques. Dans le premier cas, on se sent coupable de manger en cachette et cela entraîne une culpabilité permanente, un sentiment de honte, de tristesse et de honte de son corps. Les femmes sont plus souvent anorexiques que les hommes. L’anorexie est plus fréquente chez les garçons et les filles, les hommes étant plus concernés que les femmes. L’anorexie est un trouble psychique qui va entraîner une perte du désir de manger, ce qui a pour conséquence de ne plus pouvoir s’alimenter.
On peut avoir des troubles de l’alimentation sans être boulimique. La boulimie peut être aussi occasionnelle.
Les troubles de l’alimentation peuvent être liés à une situation familiale, à une maladie, ou à un événement traumatisant, comme un divorce, une maladie grave, ou un deuil. On parle alors de boulimie psychique : les crises de boulimie sont liées à un événement qui a été difficile pour le patient.
On parle aussi de boulimie psychique, lorsqu’on a un problème avec la nourriture qu’on n’arrive pas à régler. La personne boulimique est souvent obsessionnelle, et donc elle peut aussi être obsédée par la nourriture. Elle ne peut pas s’en sortir, car elle a toujours faim, et elle ressent de la culpabilité. On parle alors de boulimie compulsive.
On peut avoir une boulimie psychique, sans être boulimique.
La boulimie est un trouble alimentaire qui est souvent dû à un événement traumatisant comme le divorce. La boulimie peut être associée à un trouble du comportement alimentaire comme l’anorexie. La boulimie peut également être associée à un trouble de la personnalité comme le trouble borderline ou le trouble de la personnalité antisociale.
La personne peut aussi avoir des troubles de l’alimentation sans être boulimique. Elle peut avoir une boulimie psychique mais ne pas être boulimique. La personne peut avoir une boulimie psychique, sans être boulimique.
En savoir plus
Troubles du comportement alimentaire
Quelles solutions ?
Facteurs de risque
Les troubles de l'alimentation (anorexie et boulimie) sont souvent associés à d'autres troubles psychiatriques et à des facteurs psychologiques. La prévalence de l'anorexie et de la boulimie varie entre 1 et 20 % de la population adulte, en fonction de l'âge, du sexe et des facteurs de risque associés (facteurs de risque de l'obésité, prédisposition génétique).
Il existe des facteurs de risque spécifiques à chacun de ces troubles. On peut citer :
– Des facteurs biologiques, comme un poids trop faible ou une prédisposition génétique ;
– Des facteurs sociaux : l'anorexie est souvent associée à une image négative de la femme ou à des problèmes relationnels ;
– Des facteurs psychologiques : l'anorexie est associée à un vécu de dévalorisation, de solitude et de manque de reconnaissance, mais aussi à un vécu de culpabilité. En outre, l'anorexie peut être associée à un trouble de l'identité de genre.
La boulimie est un trouble alimentaire caractérisé par des crises de boulimie qui peuvent être vomitives, voire des évacuations de liquides (diarrhée). Il y a des crises de boulimie pendant lesquelles on mange des quantités anormalement élevées en un temps réduit. On observe une perte de contrôle de l'appétit, de la satiété, et on se jette sur les aliments sucrés, gras ou salés. Ces crises sont dues à la peur de grossir. Ces crises peuvent être déclenchées par un événement traumatisant (divorce, maladie, décès d'un proche, etc.) ou par un trouble psychologique comme la dépression. Ces crises peuvent durer de 1 à 10 jours et faire peur. On peut avoir des troubles de l'alimentation sans être boulimique.
La boulimie est un trouble qui peut être lié à la dépression. La boulimie peut être liée à un trouble du comportement alimentaire comme l'anorexie. La boulimie peut être liée à un trouble de la personnalité comme le trouble borderline ou le trouble de la personnalité antisociale. La boulimie peut aussi être liée à un trouble de la personnalité comme le trouble de la personnalité antisociale.
La boulimie est associée à un trouble de la personnalité. La boulimie peut être associée à une dépression. La boulimie peut être associée à un trouble de l'identité de genre.
La définition du trouble du comportement alimentaire ne permet pas de déterminer clairement la cause de la boulimie. Il faut que le trouble soit récent et qu'il se produise en dehors des repas. Il existe des cas d'anorexie sans boulimie. Il faut aussi qu'il n'y ait pas eu de signes avant-coureurs de trouble du comportement alimentaire avant la survenue de la crise.
Le diagnostic est clinique. Il est posé par le médecin. Le médecin peut demander des examens complémentaires en fonction des symptômes.
Le traitement est basé sur la psychothérapie. La psychothérapie permet de diminuer la culpabilité et les troubles de l'alimentation, et de mieux accepter son corps.
Le traitement de l'anorexie et de la boulimie n'est pas le même. L'anorexie se soigne par la nutrition, le traitement psychologique peut être utile pour réduire la dépendance aux aliments.
Les antidépresseurs sont uniquement prescrits chez le patient dans le traitement de certaines affections de la peau.
Les antidépresseurs sont prescrits dans la prise en charge des symptômes de la dépression, de l'anxiété, de la dépression sévère, de la dépression de type obsessionnel-compulsif, d'autres troubles métaboliques ou de l'hypercholestérolémie. En général, l'efficacité de ces médicaments peut varier en fonction de la tolérance et de l'origine du trouble.
La prise en charge des patients ayant déjà présenté des effets secondaires de la classe des antidépresseurs déclarés « benzodiazépines » ou « antidépresseurs » est simple et rapide. En effet, les antidépresseurs sont prescrits en traitement de troubles anxieux en raison de leur caractère dépressive.
La plupart des antidépresseurs déclarés sont uniquement sédatifs.
Les antidépresseurs, médicamenteux et antidépresseurs sont utilisés en association avec d'autres médicaments, tels que des antipsychotiques, des psychostimulants, des antidépresseurs des troubles du sommeil, des médicaments contre l'anxiété ou des médicaments contre les troubles anxieux.
Si vous souffrez d'un trouble anxieux, votre médecin peut prescrire des antidépresseurs.
Les patients qui souffrent de trouble anxieux sont généralement traités avec des anxiolytiques ou des antidépresseurs.
Dans le cadre de la prise en charge des patients qui souffrent de trouble anxieux, le médecin peut prescrire des anxiolytiques ou des antidépresseurs.
Les médicaments antidépresseurs peuvent être prescrits dans les cas suivants :
Les antidépresseurs peuvent être utilisés chez les patients ayant un trouble anxieux ou ayant des troubles dépressifs.
Chez les patients atteints de troubles psychiatriques ou de troubles dépressifs, les médecins peuvent prescrire des antidépresseurs.
Ce sont les médicaments que le prescripteur doit à vous soumettre en consultation, en pharmacie ou en clinique. Il est important de respecter les prescriptions de votre médecin.
Les médicaments antidépresseurs sont contre-indiqués pour les patients atteints de trouble anxieux ou de troubles dépressifs. Ils ne doivent pas être pris avec des anxiolytiques.
Les patients atteints de trouble anxieux ou de troubles dépressifs devraient être informés des risques liés à leur utilisation et des avantages et des bénéfices du traitement.
L’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) a annoncé vendredi que ce n’était pas le cas pour l’utilisation de l’oxcarbazépine. Les médicaments utilisés pour traiter l’asthme, l’épilepsie et le trouble panique sont de mise. Dans une étude menée auprès de 906 adultes traités contre l’asthme, l’oxcarbazépine a été administré à l’adolescent (14,3 %) et la personne âgée (14,4 %) pour la première fois. L’analyse réalisée a révélé que l’utilisation d’oxcarbazépine pourrait diminuer l’accès à la crise de l’asthme, tandis que l’utilisation de l’oxcarbazépine pourrait augmenter les risques d’angoisse. Le professeur Philippe Even, directeur de recherche sur l’ANSM, a annoncé le lancement de cette étude.
À LIRE AUSSI L’oxcarbazépine, un anxiolytique, a été l’un des traitements les plus récents de l’angoisse. Son efficacité a été confirmée avec l’utilisation de l’oxcarbazépine chez des patients présentant un trouble panique.
Pour s’inscrire dans le livre Le Médecin du médicament, c’est-à-dire un traitement de longue durée, les experts de l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) ont donc découvert que l’utilisation d’oxcarbazépine pourrait réduire les risques d’accidents thromboemboliques (AVT), d’accidents pulmonaires (CP) et d’accidents vasculaires cérébraux (AVC). L’ANSM s’est écroulé dans les pages de l’article « Les médicaments » du Journal officiel qui s’était déjà présenté. Le professeur Even a donc déclaré que l’utilisation d’oxcarbazépine pourrait améliorer l’efficacité des médicaments. Selon lui, il ajoute que ce n’est pas le cas.
Il a été démontré que l’utilisation d’oxcarbazépine pourrait améliorer les risques d’AVC, d’accidents cardiovasculaires, d’accidents de la peau, d’autres cancers et d’autres maladies thromboemboliques (maux de tête, bouche sèche, prise de poids, décès…). En revanche, ces médicaments ont une efficacité significative avec l’utilisation d’oxcarbazépine chez des patients ayant des antécédents médicaux ou présentant des facteurs de risque.