L’hydroxyzine est un médicament antidépresseur utilisé pour traiter les démangeaisons et les inflammations. Le médicament agit en bloquant les récepteurs de l’hormone antinémique de la peau. Il en ralentit et en ralentit la formation des désagréments, ce qui peut provoquer des désagréments.
L’hydroxyzine est indiquée dans le traitement de courte durée des crises d’angoisse. Elle est également utilisée pour traiter les désagréments causés par la prise de certains médicaments comme l’hydroxyzine. L’hydroxyzine agit en bloquant les récepteurs du cerveau des substances appelées glutamate. Les récepteurs de l’hormone sont répartis en deux parties : les récepteurs d’adrénaline et la récepteurs d’aldostérone.
L’hydroxyzine est un médicament antidépresseur qui bloque l’action des récepteurs des hormones. Il en ralentit et en ralentisse les symptômes, ce qui peut provoquer une accélération de l’organisme. Il agit en bloquant les récepteurs du cerveau des substances appelées glutamate. Les récepteurs de l’hormone sont répartis en deux parties : les récepteurs d’adrénaline et la récepteurs d’aldostérone.
= prescription médicale obligatoire
ANSM - Mis à jour le : 17/07/2022
Dénomination du médicament
ATARAX 100 mg, comprimé pelliculé sécableAtarax
Encadré
Veuillez lire attentivement cette notice avant de prendre ce médicament car elle contient des informations importantes pour vous.· Gardez cette notice. Vous pourriez avoir besoin de la relire.
Si vous avez d'autres questions, interrogez votre médecin ou votre pharmacien.
Ce médicament vous a été personnellement prescrit. Ne le donnez pas à d'autres personnes. Il pourrait leur être nocif, même si les signes de leur maladie sont identiques aux vôtres.
Si vous ressentez un quelconque effet indésirable, parlez-en à votre médecin ou votre pharmacien. Ceci s'applique aussi à tout effet indésirable qui ne serait pas mentionné dans cette notice. Voir rubrique 4.
Que contient cette notice?
1. Qu'est-ce que ATARAX 100 mg, comprimé pelliculé sécable et dans quels cas est-il utilisé?
2. Quelles sont les informations à connaître avant de prendre ATARAX 100 mg, comprimé pelliculé sécable?
3. Comment prendre ATARAX 100 mg, comprimé pelliculé sécable?
4. Quels sont les effets indésirables éventuels?
5. Comment conserver ATARAX 100 mg, comprimé pelliculé sécable?
6. Contenu de l'emballage et autres informations.
QU'EST-CE QUE ATARAX 100 mg, comprimé pelliculé sécable ET DANS QUELS CAS EST-IL UTILISE?
Classe pharmacothérapeutique : anti-inflammatoire non stéroïdien - code ATC : J01FA04.
ATARAX est un anti-inflammatoire non stéroïdien utilisé pour :
En France, le prix de l'atarax reste de 30% pour les personnes ayant un risque de développer une forme sévère de dépendance au tabac. Aussi bien que deux fois plus cher que cela, l'atarax n'est pas recommandée pour le traitement de ces affections, selon l'agence nationale française dans son rapport. D'autres médicaments à base de benzodiazépines, tels que l'hydroxyzine, le nalméfène, le millepertuis, le tétradol, le flupentixol, la nizizatripone, le métoprolol ou encore le zopiclone, sont prescrits. Ils peuvent être réservés aux personnes souffrant d'épilepsie, d'anxiété, de troubles obsessionnels compulsifs, d'anxiété généralisée, de troubles de l'audition ou de troubles de la mémoire. Mais aussi aux personnes en surpoids, avec un risque élevé d'obstruction des voies urinaires, d'obésité, d'hémorragie, d'anémie, d'insuffisance cardiaque ou de diabète, de troubles de l'humeur, ainsi qu'aux patients atteints d'une maladie de Parkinson ou de la méningite. Dans le cas de l'atarax, il n'est pas recommandé de prendre l'atarax au moins deux fois par jour. Il est recommandé d'utiliser des anticoagulants oraux, tels que la warfarine, l'acide azélaïque, l'anastrozole et le nicorandil. Le risque d'hypotension artérielle est plus élevé. Il doit être pris de façon à l'arrêt des médicaments qui augmentent le risque d'hypercholestérolémie. Ainsi, en pratique, l'atarax ne peut pas être utilisé en raison de la présence de diabète. Il n'est pas recommandé de ne pas utiliser d'autres médicaments contenant de l'atarax. D'autres médicaments à base de benzodiazépines, tels que l'halofantrine, la lévodopa et le clonazépam, peuvent être utilisés par voie orale. Les antihistaminiques, les médicaments contenant des décongestionnants de l'hydroquinoline, tels que le diazépam, le phénobarbital, la bromocriptine, le métronidazole, la pentamidine et le diltiazem peuvent être prescrits pour les personnes souffrant d'hypertension artérielle. Pour cette raison, une dose thérapeutique de l'atarax est recommandée dès l'apparition de symptômes tels que des étourdissements ou des étourdissements. L'atarax n'est pas recommandé pour les personnes souffrant d'insuffisance cardiaque ou d'une insuffisance rénale, en raison de son absorption par le système digestif. Si les symptômes ne s'améliorent pas après quelques heures, il n'est pas recommandé de consommer du lévodopa et du phénobarbital.
De son côté, l'atarax est un antalgique, un vasoconstricteur, un anti-inflammatoire et un antalgique, mais c'est un antalgique qui peut être utilisé avec l'atarax en vente libre.
«Cette étude va dans la bonne direction, nous nous attendons à voir des résultats positifs plus tard cette année ou dans les années à venir. C’est un nouveau pas dans la bonne direction », s’est réjoui un chercheur de l’Institut national de santé publique (INSPQ), Jean-Michel Gagné.
L’usage récréatif de cette substance, qui peut être mortelle ou nocive, ne se limite pas aux produits pharmaceutiques.
Depuis la fin des années 1990, le THC a gagné du terrain dans la société québécoise. Il est devenu la drogue préférée des jeunes. En 2017, l’INSPQ estimait que plus de 10% des 14-24 ans avaient déjà consommé de la marijuana. Dans la grande majorité des cas, l’usage est occasionnel, surtout chez les hommes.
La recherche indique que le THC peut causer de nombreux effets secondaires, dont la perte de conscience, la désorientation et des problèmes de coordination. L’inhalation de THC pourrait mener à la dépendance, voire à des comportements violents ou à la consommation d’autres drogues.
Durant les 10 dernières années, la consommation d’alcool chez les jeunes a diminué de 30%. Pourtant, la consommation d’alcool est devenue un problème de santé publique majeur, surtout chez les jeunes. Les jeunes de moins de 18 ans ont connu une augmentation de 58% de la consommation d’alcool entre 1991 et 2017.
La consommation d’alcool semble également s’accentuer chez les femmes. Le risque de dépendance à l’alcool est plus élevé chez les femmes de 18 ans et plus, et plus particulièrement chez les adolescentes.
La consommation d’alcool est un phénomène répandu dans la population québécoise et plusieurs études tendent à démontrer un lien entre la consommation d’alcool et la criminalité. Les études révèlent que les jeunes de 15 à 24 ans ont deux fois plus de risques de commettre des crimes violents et des agressions sexuelles que les personnes de 45 ans et plus.
Cependant, il est difficile de faire la part des choses entre la consommation de drogues et l’usage de substances psychoactives. L’INSPQ reconnaît que ces résultats doivent être interprétés avec prudence. Il faut également tenir compte de l’impact du contexte social, des habitudes de vie et de la situation sociale.
Le recours à la marijuana au cours des dix dernières années aurait pu causer la dépendance chez un plus grand nombre de personnes. Cependant, plusieurs autres facteurs influencent ce risque comme le niveau de scolarité, le niveau de revenu, l’état de santé et le style de vie.
La consommation de drogues pourrait donc avoir d’autres effets néfastes sur le cerveau. Les effets des drogues varient d’une personne à l’autre et les produits utilisés sont nombreux. Les effets peuvent être physiques, psychiques ou sociaux.
Les effets de la marijuana peuvent provoquer des troubles de l’équilibre et de l’attention, des hallucinations, des changements de la perception des couleurs et de la température, de la dépression, de la dépression et de l’irritabilité, de la confusion, des changements de personnalité, des changements de la perception des émotions, de la mémoire, des changements de la sensibilité au bruit et à la lumière.
Les effets sur le cerveau de l’usage de drogues comme le THC peuvent se traduire par des troubles de la vision, des difficultés d’apprentissage, des problèmes de mémoire à court et à long terme, une anxiété, des hallucinations, des pensées irrationnelles, des changements d’humeur, de la dépression, des changements de comportement et de la confusion.
Pour les plus jeunes, l’utilisation de la drogue peut être une expérience qui change leur vie.
L’usage récréatif de cannabis pourrait être une expérience qui peut avoir un effet sur les relations avec les amis et la famille. La consommation de drogue peut également avoir un impact sur les relations amoureuses. Certains jeunes ont l’impression de vivre dans un monde qui n’est pas le leur, où le fait de s’ouvrir sur leur vie personnelle n’est pas encouragé.
Les effets de la drogue sur le cerveau peuvent aussi avoir un impact sur le fonctionnement social, les relations personnelles et professionnelles et la capacité à être productif. La consommation de drogues pourrait causer de la solitude, de la tristesse, de l’anxiété, une mauvaise estime de soi, des problèmes de sommeil et un manque de motivation à travailler ou à s’impliquer dans des activités.
L’usage récréatif de cannabis pourrait aussi être un facteur de risque pour le développement des cancers et des maladies chroniques.
Ces effets se manifestent à différents degrés chez les consommateurs de cannabis. Il n’y a pas de différences entre les jeunes qui consomment de l’alcool et ceux qui consomment du cannabis ni chez les personnes qui ont consommé des drogues et des médicaments ou qui ont consommé des drogues et des médicaments en même temps.
S’il est difficile de faire la différence entre les deux, il est plus facile de différencier les effets sur le cerveau. Les adolescents sont plus à risque de développer des troubles de l’attention et de l’humeur et de la dépression. Il est possible que ces effets apparaissent plus tard. Les adultes sont plus à risque d’avoir un problème de dépendance à l’alcool et aux drogues et de souffrir de problèmes de santé mentale.
Il est important de signaler les effets nocifs de la marijuana ou des autres drogues à un professionnel de la santé qui sera en mesure de bien évaluer les risques et les effets potentiels sur le cerveau des jeunes. Il est possible de demander l’aide d’un intervenant ou d’un travailleur social dans les Centres de santé et de services sociaux (CSSS).
Le recours à des programmes de réduction des méfaits devrait être encouragé. Ces programmes visent à réduire la consommation de drogues et à réduire les risques pour la santé associés à la consommation de drogues.
La consommation de marijuana et d’autres drogues psychoactives peut avoir un effet négatif sur la santé psychologique et la capacité de s’engager dans des activités de soins. Cette étude est une nouvelle pierre dans le jardin de la recherche sur le cannabis qui suscite des craintes et des inquiétudes. Les jeunes consommateurs de cannabis doivent être informés des risques pour leur santé et être encouragés à faire part de leurs expériences à leurs parents ou leurs enseignants.
La recherche doit se poursuivre pour comprendre si la consommation de cannabis entraîne d’autres conséquences que celles déjà connues. Le cannabis demeure une drogue récréative à risque. Les produits de cannabis et les autres drogues psychoactives doivent être utilisés avec prudence.
La recherche et la science peuvent améliorer notre compréhension de l’impact du cannabis sur le cerveau. Les chercheurs et les chercheurs doivent communiquer leurs découvertes à la communauté pour que les connaissances scientifiques puissent être utilisées pour améliorer la vie de milliers de personnes dans notre société.
Mesure phare : la loi sur le cannabis
La ministre de la Santé publique a présenté en décembre dernier un projet de loi qui vise à légaliser et à encadrer l’usage du cannabis au Québec. La ministre veut ainsi réduire la dépendance à la drogue en mettant fin à la prohibition et en favorisant une utilisation responsable du cannabis.
Depuis la légalisation, en octobre 2018, la vente de cannabis a augmenté de 130%. Depuis le 17 octobre, le taux de cannabis chez les enfants est de 1,1 mg/kg/jour. Les adolescents (13-17 ans) ont un taux d’environ 2 mg/kg/jour. Pour les adultes (18 ans et plus), le taux s’élève à 3 mg/kg/jour.
Le Québec compte maintenant 2300 personnes ayant une ordonnance autorisant l’importation, la vente ou la distribution de cannabis à des fins récréatives.
La loi vise à réduire le risque d’usage de substances psychoactives en permettant de consommer du cannabis chez soi, sans qu’il soit nécessaire de le consommer dans un lieu public. Ainsi, la consommation de cannabis est devenue une réalité de tous les jours, et pas seulement le vendredi soir. L’interdiction de sa vente dans les bars a créé un vide. Les jeunes ont donc pu se procurer du cannabis et l’utiliser. Les risques de dépendance et d’abus sont moindres, ce qui permet de réduire les risques pour la santé.
Avec la légalisation du cannabis, de nouveaux défis apparaissent. Ceux-ci comprennent la vente, la production et la publicité des produits de cannabis. Ces changements réglementaires entraîneront des changements importants au niveau des lois entourant la vente, la production, la distribution et la publicité des produits de cannabis.
D’autres changements réglementaires sont prévus. Ceux-ci touchent la façon de se procurer et de vendre du cannabis et de la marijuana. Cela inclut notamment la création de bureaux municipaux d’alcool et de produits du tabac à des fins non médicales.
Le gouvernement du Québec compte aussi développer une approche pour la santé mentale des jeunes. Cette politique de santé doit répondre à la fois aux enjeux actuels et aux besoins des jeunes de la population. Le gouvernement du Québec a ainsi mis sur pied un comité ministériel qui a produit des recommandations pour répondre aux besoins de santé des jeunes.