L’augmentation du risque de contracter le virus de l’hépatite C (VHC) est le plus souvent attribuée aux pratiques sexuelles à haut risque chez les consommateurs de drogues injectables. Mais des travaux récents montrent que les rapports sexuels occasionnels pourraient aussi accroître les risques de contracter le virus. Des études antérieures ont suggéré qu’un rapport sexuel occasionnel pouvait augmenter le risque de contracter le VHC, mais jusqu’à présent, cette association n’a pas été prouvée à l’aide d’un test de dépistage.
C’est à partir de ces résultats que la Hepatitis C Prevention Collaborative a été lancée. Le but est d’élaborer des recommandations pour la prévention des risques d’infection au VHC par les pratiques sexuelles occasionnelles.
Une étude publiée dans Cancer Epidemiology, Biomarkers & Prevention a examiné les relations entre la fréquence des rapports sexuels occasionnels et le risque de contracter le virus de l’hépatite C (VHC) au cours d’une période de 10 ans. Les participants étaient des hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes et des personnes ayant une maladie chronique du foie qui prenaient un médicament anti-VHC (stavudine, nevirapine ou ténofovir disoproxil).
Les chercheurs ont examiné si le fait d’avoir un rapport sexuel occasionnel augmentait le risque de contracter le VHC. Après ajustement, la fréquence des rapports sexuels occasionnels était associée à un risque accru de contracter le VHC. La fréquence des rapports sexuels occasionnels ne semblait pas affecter la prévalence du VHC, le nombre de partenaires sexuels ou la présence de symptômes du VHC, mais une augmentation du risque de contracter le VHC était observée après ajustement sur d’autres facteurs de risque.
« Les participants ayant des rapports sexuels occasionnels sont exposés à un risque accru d’infection au VHC lors de rapports sexuels non protégés », explique l’auteur principal de l’étude, le Dr Kyle Dexter. « C’est peut-être en raison du risque accru de contracter le VIH en raison du partage de seringues et d’autres drogues injectables », ajoute-t-il.
« Cependant, les hommes qui ont des rapports sexuels occasionnels sont souvent les plus susceptibles de se livrer à des relations sexuelles non protégées, et ce risque accru pourrait donc être dû au fait qu’ils n’ont pas été exposés à des pratiques sexuelles à haut risque », précise-t-il. Les auteurs de l’étude font référence à l’augmentation des pratiques sexuelles à haut risque chez les consommateurs de drogues injectables, qui a été associée à un risque accru d’infection au VIH. Le risque d’infection par le VIH est plus élevé chez les hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes, et les participants qui consomment des drogues injectables ont tendance à avoir un risque plus élevé d’infection par le VIH.
Les chercheurs ont également examiné si le fait d’avoir des rapports sexuels occasionnels réduisait le risque de contracter le VHC. Les participants ayant des rapports sexuels occasionnels étaient moins susceptibles d’avoir des rapports sexuels protégés ou sans préservatif, et la fréquence de la consommation de drogues injectables n’était pas liée au risque de contracter le VHC. Les auteurs suggèrent que les résultats de cette étude n’établissent pas un lien direct entre les rapports sexuels occasionnels et le risque de contracter le VHC, mais indiquent une association entre les comportements sexuels à haut risque et le risque de contracter le VHC.
Les résultats de l’étude soulignent l’importance de la prévention des pratiques sexuelles à haut risque chez les hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes, et les chercheurs espèrent qu’ils serviront à orienter les décisions politiques et de santé publique afin de réduire le risque d’infection au VHC. Les auteurs insistent sur le fait que la prévention et le dépistage des personnes exposées à un risque élevé d’infection au VHC doivent être effectués par les professionnels de la santé.
Les chercheurs proposent que le dépistage des personnes présentant un risque élevé d’infection au VHC puisse être effectué par un test de dépistage du VHC et que le vaccin antiviral contre la syphilis puisse être utilisé pour réduire le risque d’infection au VHC. « Le dépistage des personnes exposées au risque d’infection au VHC peut être utilisé pour identifier les personnes susceptibles d’être infectées, afin d’orienter les décisions de dépistage et de prévention des pratiques sexuelles à haut risque », déclare le Dr Dexter.
« Le vaccin antiviral contre la syphilis pourrait être utilisé pour réduire le risque d’infection au VHC », ajoute-t-il. Le vaccin antiviral contre la syphilis est le plus souvent utilisé chez les personnes qui ont contracté la syphilis. Il est efficace contre le chancre humide et la syphilis primaire et peut être utilisé chez les personnes ayant des rapports sexuels avec d’autres personnes.
Les chercheurs font valoir que ces mesures sont importantes car les personnes qui ont des rapports sexuels occasionnels ne sont pas exposées au risque d’infection au VHC. Toutefois, comme il n’existe pas de traitement pour la syphilis, il est recommandé de traiter toute infection à la syphilis au moyen d’un traitement antibiotique à large spectre, ainsi que des antibiotiques qui peuvent être utilisés pour traiter une syphilis latente. Les auteurs de l’étude suggèrent que les programmes de prévention de la syphilis doivent également viser à réduire la transmission par des personnes qui ont des rapports sexuels occasionnels. « Les programmes de prévention de la syphilis doivent se concentrer sur les pratiques sexuelles à haut risque chez les hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes, car le risque de transmission par les consommateurs de drogues injectables est faible, et ceux qui ont des rapports sexuels occasionnels présentent un risque accru d’infection par le VHC », déclare le Dr Dexter.
« Les personnes ayant des rapports sexuels occasionnels devraient être informées des pratiques sexuelles à haut risque, afin que les partenaires sexuels soient conscients de la possibilité de transmission du VHC, et peuvent également bénéficier d’un dépistage approprié », ajoute-t-il. Les chercheurs soulignent qu’il est important de mener des études prospectives pour déterminer si la prévention du VHC chez les hommes ayant des rapports sexuels occasionnels peut réduire le risque de contracter le VHC, car cela permettrait de réduire la prévalence du VHC. « Les résultats de l’étude fournissent des informations précieuses pour les praticiens de la santé et les décideurs politiques », déclare le Dr Dexter.
Les chercheurs ont examiné si le fait de dépister des personnes qui présentent des infections latentes au VHC chez elles pouvait réduire la prévalence du VIH. Le dépistage a été effectué dans 13 communautés en Caroline du Sud et en Caroline du Nord. Les chercheurs ont comparé les taux de dépistage chez les personnes qui étaient des partenaires sexuels occasionnels avec les taux de dépistage chez les personnes qui ont été des partenaires sexuels à haut risque. Les résultats montrent que les taux de dépistage chez les personnes qui étaient des partenaires sexuels occasionnels étaient plus élevés que ceux chez les personnes ayant des relations sexuelles à haut risque.
« Les personnes ayant des relations sexuelles occasionnelles pourraient être un groupe de populations à haut risque d’infection au VHC », explique le Dr Dexter. « Il serait possible d’atténuer les risques d’infection à VHC chez les personnes qui avaient des relations sexuelles occasionnelles en sensibilisant davantage les personnes ayant des rapports sexuels occasionnels à la possibilité d’une infection à VHC », ajoute-t-il.
« Les personnes ayant des rapports sexuels occasionnels pourraient être un groupe de populations à haut risque d’infection au VHC. Il serait possible d’atténuer les risques d’infection à VHC chez les personnes qui avaient des relations sexuelles occasionnelles en sensibilisant davantage les personnes ayant des rapports sexuels occasionnels à la possibilité d’une infection à VHC », explique le Dr Dexter.
Les chercheurs ont également examiné si les personnes présentant des infections latentes au VHC étaient plus susceptibles d’avoir des relations sexuelles sans préservatif ou sans condom. « Les personnes présentant des infections latentes au VHC pourraient être moins susceptibles d’avoir des relations sexuelles sans préservatif ou sans condom », note le Dr Dexter.
« Les personnes présentant des infections latentes au VHC pourraient être moins susceptibles d’avoir des relations sexuelles sans préservatif ou sans condom », remarque le Dr Dexter.
L’étude ne fournit aucune donnée sur le dépistage des infections latentes au VHC, mais indique que le dépistage pourrait être utile pour réduire le risque d’infection à VHC chez les personnes ayant des rapports sexuels occasionnels. « Il est important de mener des études prospectives pour déterminer si le dépistage des infections latentes au VHC pourrait réduire le risque d’infection à VHC chez les personnes ayant des rapports sexuels occasionnels », dit le Dr Dexter.
Les chercheurs soulignent que l’étude n’était pas un essai randomisé.
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